Père que j'ai tant admiré durant de si nombreuses années. Toi qui m'a tout appris : piller , tuer, toute cette barbarie. Te voilà maintenant victime de mon épée, dans le creu de ma main tu demeures sans vie.
Qu'a t'il bien pu se passer pour en arriver là ? Depuis l'heure où je suis né jusqu'à la minute de ton trépas ?
Toi que j'aimais jadis comme on aime une mère. L'ensemble de tes vices changèrent l'amour en colère. Cupidité, haine, violence sont les moindres d'entre eux car en défauts l'opulence est chez toi un enjeu. Savoir lequel il manquait à ta collection, était devenu pour toi plus qu'une passion.
Dire que je ne demandais qu'à te ressembler, voilà qui est fait maintenant que je t'ai tué.
Je ne comprends pas pourquoi cette tristesse m'inonde. Je me sens répugnant, je suis un être immonde.
Les larmes sur mes joues coulent tout en te regardant alors que dans mon coeur la rage est un feu ardent.
Je suis maintenant seul à diriger mon destin, mais pourquoi continuer quand de vie on a plus faim ?
Je vivais entre ta poigne de fer et la douceur d'un sein. Celui d'une mère dont tu brisas le destin.
Quel mal avait-elle fait si ce n'est que d'aimer un autre homme que toi, un qui la chérissait.
Ne pouvant supporter de voir ta possession te fuir pour un autre et vivre dans la passion, tu ne résistas pas longtemps à ton envie de tuer, et pris ton long couteau pour aller l'éventrer.
Comment as-tu pu ainsi, sans même réfléchir, anéantir nos trois vies à cause d'un délire.
Père je t'aimais et crois t'aimer encore. Je me retrouve endeuillé, ta tête étant séparée de ton corps.
Pourquoi ne puis-je te haïr comme avant ton décès ? Cela, je pense, pourrait me soulager.
Mais non, même après ta mort, tu continues à m'anéantir de remords. La tuer devant moi ainsi ne t'as donc point suffit, qu'il te faille depuis les enfers détruire mon esprit.
Ma main n'a pas tremblé durant l'exécution, mais je défaille désormais devant tes yeux blancs et ronds.
Que vais-je faire de cette tête, faut-il donc que je l'enterre. Peut-être même lui permettre de rejoindre les enfers.
Voilà que je m'apprête à dire adieu à mon père.
Qu'a t'il bien pu se passer pour en arriver là ? Depuis l'heure où je suis né jusqu'à la minute de ton trépas ?
Toi que j'aimais jadis comme on aime une mère. L'ensemble de tes vices changèrent l'amour en colère. Cupidité, haine, violence sont les moindres d'entre eux car en défauts l'opulence est chez toi un enjeu. Savoir lequel il manquait à ta collection, était devenu pour toi plus qu'une passion.
Dire que je ne demandais qu'à te ressembler, voilà qui est fait maintenant que je t'ai tué.
Je ne comprends pas pourquoi cette tristesse m'inonde. Je me sens répugnant, je suis un être immonde.
Les larmes sur mes joues coulent tout en te regardant alors que dans mon coeur la rage est un feu ardent.
Je suis maintenant seul à diriger mon destin, mais pourquoi continuer quand de vie on a plus faim ?
Je vivais entre ta poigne de fer et la douceur d'un sein. Celui d'une mère dont tu brisas le destin.
Quel mal avait-elle fait si ce n'est que d'aimer un autre homme que toi, un qui la chérissait.
Ne pouvant supporter de voir ta possession te fuir pour un autre et vivre dans la passion, tu ne résistas pas longtemps à ton envie de tuer, et pris ton long couteau pour aller l'éventrer.
Comment as-tu pu ainsi, sans même réfléchir, anéantir nos trois vies à cause d'un délire.
Père je t'aimais et crois t'aimer encore. Je me retrouve endeuillé, ta tête étant séparée de ton corps.
Pourquoi ne puis-je te haïr comme avant ton décès ? Cela, je pense, pourrait me soulager.
Mais non, même après ta mort, tu continues à m'anéantir de remords. La tuer devant moi ainsi ne t'as donc point suffit, qu'il te faille depuis les enfers détruire mon esprit.
Ma main n'a pas tremblé durant l'exécution, mais je défaille désormais devant tes yeux blancs et ronds.
Que vais-je faire de cette tête, faut-il donc que je l'enterre. Peut-être même lui permettre de rejoindre les enfers.
Voilà que je m'apprête à dire adieu à mon père.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire